Les systèmes d’alarme grand public — Verisure, Homiris, Sector Alarm et autres — sont vendus comme des solutions miracles capables de stopper n’importe quelle intrusion.
La réalité est tout autre.
Aujourd’hui, les cambrioleurs :
- sont plus jeunes,
- plus violents,
- moins rationnels,
- moins effrayés,
- et surtout : ils n’ont plus rien à perdre.
Dans un homejacking moderne, ils n’ont pas peur de croiser la famille.
Ils n’ont pas peur des alarmes.
Ils n’ont pas peur de la police, car ils savent qu’ils seront partis avant même l’arrivée d’une patrouille.
Le danger a évolué.
La sécurité grand public, elle, est restée figée.
Les alarmes grand public : un produit marketing, pas une protection réelle
Ces systèmes vendent avant tout une image rassurante et un abonnement mensuel.
En aucun cas ils ne sont conçus pour résister à des cambrioleurs déterminés ou violents.
Un modèle économique basé sur l’abonnement, pas la performance
L’objectif principal est simple : multiplier les abonnés.
Cela impose des installations rapides, standardisées, sans analyse approfondie du domicile.
La sécurité réelle du client passe au second plan.
Matériel standard, quel que soit le logement
Quel que soit le type d’habitation, les installateurs posent les mêmes capteurs, aux mêmes endroits, selon la même logique.
Une maison familiale, une villa, un appartement en rez-de-chaussée ou un loft ouvert reçoivent exactement la même structure de système.
Une approche “copier-coller”.
Pourquoi ces alarmes échouent face aux intrus d’aujourd’hui
Les cambrioleurs modernes ne cherchent plus la discrétion.
Ils cherchent la domination, la rapidité et la capacité à intimider.
Une sirène ou un boîtier lumineux ne les impressionne plus du tout.
Les intrus n’ont plus peur et assument la confrontation
Un voleur qui est prêt à menacer un parent, terroriser un enfant ou brutaliser un occupant ne va pas fuir parce qu'une alarme sonne.
Ces profils savent parfaitement que :
- la police ne viendra pas immédiatement,
- la sirène ne représente aucun danger physique,
- l’occupant est paniqué et désorienté.
Ils avancent, ils agressent, ils dominent.
Leur objectif est la neutralisation psychologique
Lors d’un homejacking, les intrus cherchent à prendre le contrôle mental de la famille.
Une alarme qui retentit pendant que votre enfant pleure, immobilisé ou terrorisé, ne stoppe rien.
Ce qui compte est de stopper l’intrusion avant même la confrontation.
Ce que les systèmes grand public ne permettent absolument pas.
La plupart des systèmes sont désactivés la nuit
La nuit, les familles désactivent l’alarme car :
- les détecteurs se déclenchent au moindre mouvement,
- les animaux génèrent de fausses alertes,
- les systèmes ne sont pas configurés pour une surveillance nocturne réelle.
Résultat : au moment où le risque est maximal, il n’y a plus aucune protection active.
Le vrai danger : la violence envers la famille
Un homejacking, c’est :
- des enfants réveillés en larmes,
- un parent plaqué au sol,
- des menaces,
- une effraction dans l’intimité,
- un traumatisme durable.
Une alarme commerciale ne protège pas contre la violence.
Elle ne protège pas contre la terreur.
Elle ne protège pas contre une intrusion menée par des individus déterminés.
La vraie sécurité consiste à empêcher physiquement l’intrusion.
Pas à faire du bruit.
Nos solutions : l’expertise judiciaire mise au service des familles
Contrairement aux installateurs grand public, nous utilisons une expertise issue du domaine judiciaire, habituellement réservée aux services de l’État.
Cette expertise est désormais mise au service :
- des familles,
- des parents,
- des foyers exigeants,
- des personnes qui veulent une sécurité sérieuse et éprouvée.
Analyse technique point par point
Nous testons chaque accès :
- résistance mécanique réelle,
- ouverture fine,
- extraction,
- levier,
- dormant,
- angles morts.
Il s’agit d’un examen criminologique, pas d’une simple visite commerciale.
Simulations d’intrusion basées sur des scénarios réels
Nous reproduisons :
- une intrusion silencieuse,
- une intrusion forcée,
- une intrusion violente,
- une intrusion organisée,
- une intrusion nocturne.
C’est un test professionnel, pas un diagnostic générique.
Matériel testé en laboratoire
Nous ne posons que des solutions :
- certifiées,
- testées en environnement extrême,
- résistance anti-levier,
- résistance anti-ouverture fine,
- pensés pour contrer des intrus déterminés.
Pas de matériel low-cost.
Pas d'abonnement inutile.
Conclusion : les alarmes grand public rassurent, mais ne protègent pas
Les cambrioleurs d’aujourd’hui :
- ne fuient plus devant une sirène,
- ne craignent pas la confrontation,
- sont violents,
- savent agir en quelques secondes.
Les alarmes grand public ne sont pas conçues pour ce profil d’intrus.
Elles rassurent, mais ne protègent pas.
La vraie protection commence par :
- une analyse experte,
- une compréhension criminologique,
- des solutions professionnelles,
- une protection anticipée.
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Nous mettons l’expertise judiciaire habituellement réservée à l’État au service des familles.
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